riton a écrit:
Mon impression générale, c'est que cet homme collectionnait plus l'objet que le disque.
Certainement moins attentif à l'état que la majorité d'entre nous.
Des disques souvent évalués "en l'état", ce qui ne veut pas dire grand chose d'autre
que mauvais état, donc, marchandise difficile à refourguer a des amateurs plus exigeants.
Bizarre aussi, l'estimation du "love songs", qui squatte les bacs à soldes à 5$...
Pour les artistes connus, une fois que tu as les titres (mono et stéréo) ce qui compte je pense c'est les pochettes.
Quand ils vendent "en l'état" ce n'est pas forcément en mauvais état mais ils ne s'embêtent pas à écouter tous les disques.
Pour la vente de Radio France, je crois qu'il en était de même.
Ceci dit, ici, la personne prise comme expert est Fabien Lecoeuvre et je ne sais pas s'il est vraiment collectionneur. §Il connait bien l'histoire de la chanson mais ce sont deux mondes tout de même différents.
Pour Radio France, ils avaient David Skinazy qui traine dans le milieu des collectionneurs depuis 30 ans.