riton a écrit:
Yeap, je suis d'accord avec toi sur l'essentiel...
Je voulais juste faire observer que si l'on ne décrypte
pas l'article "un chouia", on peut penser qu'il s'agit d'une généralité.
Alors que les deux intervenants ne me semblent représentatifs
que d'une minorité.
J'ai l'impression qu'ils ont peu d'atouts commerciaux en leur faveur,
et que ce "nouveau" problème évoqué, les plombe.
Sans compter que ce sont des élèves de CEGEP qui ont rédigé l'article (en France, l'équivalent serait la terminale), si j'ai bien lu.
Il faut donc prendre ça avec des pincettes, c'est pas poussé, mais ça donne quand même l'idée de ce que ça donne dans ces territoires.
riton a écrit:
@Maxime
Vache ! Deux ans à chiner chez les cousins, quel pied tu as du prendre !
(Mon shop préféré, "l'indicatif" à Laval...
)
(On y trouve des originaux moins chers que les réédits de chez "Aux 33 tours"...
)
Tu dois bien avoir quelques bonnes histoires de chines locales à nous conter ?
Quelques belles trouvailles fièrement ramenées au pays ?
Je ne suis jamais allé chiné à Laval (je n'y suis quasiment jamais allé, en fait). J'avais présenté ça par ici, j'avais ramené pas mal de rééditions récentes ou des nouveautés qu'on ne croise pas souvent en France (du Mr Bongo, Analog Africa, Soundway Records, Numero Group, RVNG Intl...), quelques disques québécois, quelques trucs folk, un pressage US des Ménestriers, un disque de chants inuits, la compil' Nuggets... Je me suis limité à des trucs que je voulais vraiment, j'ai assez peu tenté de choses là-bas : il y avait suffisamment pour me plaire et remplir les valises lorsque je revenais en France (parce qu'il fallait songer à ramener tout ça après !). J'ai retrouvé quelques messages, que j'avais posté à l'époque, mais les photos ont disparu (il y a toujours le texte autour).
Là où j'ai le plus dépensé, c'était chez Aux 33 tours. Là-bas, j'étais toujours sûr de trouver quelque chose (en même temps, vu la taille !).
J'aimais bien aller chez Phonopolis et Sonorama, sur Bernard Ouest. C'était pas si loin de chez moi, une demi-heure à pied. Ça me faisait passer par un quartier sympa pour y aller, et j'y faisais toujours des trouvailles.
Et sinon Beatnik, aussi, j'y avais vu de belles choses. Et d'autres encore : y'avait de quoi faire à Montréal, en tout cas.
Par contre, je n'avais rien trouvé à Québec (ou alors pas grand chose).