James a écrit:
C'est certainement intéressant à feuilleter, mais çà incite aussi à en acheter, en réédition bien sur.
Et c'est là toute la question, est ce vraiment utile ?
Des obscurités, nous en avons tous plus où moins en rayons que nous écoutons un où deux fois pour les ranger ensuite précieusement et ne les ressortir que pour monter aux copains.
Combien de disques VRAIMENT INTÉRESSANTS pour un nombre de bouses pas possible ?
C'est la raison de mon premier commentaire
Mais cette interrogation vaut aussi pour les disques non privés !
Il se méfier des rééditions, qui parfois, ne rendent pas justice aux originaux. Par exemple, si vous n'avez jamais entendu autre chose que la réédition Void de Michael Angelo, autant dire que vous n'avez jamais entendu Michael Angelo ! Le son est écrasé, franchement inécoutable, et la tracklist n'est même pas pas dans le bon ordre.
James a écrit:
Les obscurités sorties en pressage privé sont généralement & à de rares exceptions, de mauvaises qualités, musicalement & matériellement.
Tu me fais un peu penser à mon oncle qui se moque de moi quand je lui parle de mes achats. Pour lui, si un disque a été pressé à 100 exemplaires, c'est que c'est nul et que ça n'intéresse personne. Mais ce sont ces rares exceptions qui font que l'on devient collectionneur !!!
Pour revenir à ce livre, il ne présente à mon avis, que peu d'intérêt. Il s'adresse d'avantage aux curieux qui s'intéressent à la pop culture en général et qui veulent un peu mieux comprendre ce phénomène qu'aux amateurs de musique. Très peu de chroniques, beaucoup de disques retenus uniquement pour leur pochette kitch... Ça reste un beau livre, mais Acid Archives et Galactic Ramble ne sont pas prêts d'être détrônés.